Lundi 11 mars
Conférence
10h30-12h30 : Conférence de Jules Desgoutte,
Auditorium de la Maison des Étudiant·e·s, Université Bordeaux Montaigne
La question de l’alternative en matière d’arts et de culture en partant de l'exemple des Lieux Intermédiaires et Indépendants (cf cnlii.org) peut être abordée de plusieurs manières.
Premièrement, à partir du processus d'auto-détermination à travers l’établissement d’un référentiel, en créant une topologie des lieux. Différents couples de marqueurs apparaissent ainsi : coopération et autonomie ; démarche et expérimentation ; collégialité et auto-organisation ; translocalité et tranversalité.
Deuxièmement, en procédant de manière historique. Cette histoire commence alors dans les années 1980 au moment de la désindustrialisation des grands centres urbains en France et en Europe, qui fit apparaitre les ruines ruinées du capitalisme moderne dénommées par les urbanistes : friches industrielles, délaissés urbains, etc. Différents termes scandent la manière de qualifier ce phénomène : Friches culturelles, Nouveaux Territoires de l’Art, Fabriques artistiques, Tiers-lieux culturels.
Troisièmement, on peut aussi repartir du plus concret, du plus singulier, et raconter quelques histoires singulières à partir d'une approche monographique comme le propose Jules Desgoutte. Son propos consistera donc ici à déplier sa pensée à travers trois exemples situé au plus près de son expérience : la friche Lamartine, à Lyon ; Mixart Myrys, à Toulouse ; le Bazarnaom, à Caen.
Cf., articles de Jules Desgoutte : https://www.artfactories.net/
Premièrement, à partir du processus d'auto-détermination à travers l’établissement d’un référentiel, en créant une topologie des lieux. Différents couples de marqueurs apparaissent ainsi : coopération et autonomie ; démarche et expérimentation ; collégialité et auto-organisation ; translocalité et tranversalité.
Deuxièmement, en procédant de manière historique. Cette histoire commence alors dans les années 1980 au moment de la désindustrialisation des grands centres urbains en France et en Europe, qui fit apparaitre les ruines ruinées du capitalisme moderne dénommées par les urbanistes : friches industrielles, délaissés urbains, etc. Différents termes scandent la manière de qualifier ce phénomène : Friches culturelles, Nouveaux Territoires de l’Art, Fabriques artistiques, Tiers-lieux culturels.
Troisièmement, on peut aussi repartir du plus concret, du plus singulier, et raconter quelques histoires singulières à partir d'une approche monographique comme le propose Jules Desgoutte. Son propos consistera donc ici à déplier sa pensée à travers trois exemples situé au plus près de son expérience : la friche Lamartine, à Lyon ; Mixart Myrys, à Toulouse ; le Bazarnaom, à Caen.
Cf., articles de Jules Desgoutte : https://www.artfactories.net/